Dillon Alekzander

 

 

❯ FEAT : Joseph Morgan

Carte d'Identité Le sujet Alekzander Dillon est un Vampire de type Masculin qui est circulation depuis 782 ans.   C'est plutôt quelqu'un doté d'une double personnalité, d'un sadisme assez poussé, d'un égoïsme au stade avancé, ambitieux à souhait et a un mal fou à garder son sang froid mais aussi doux quand il aime la personne qu'il a en face de lui, attentionné, charmeur, pointilleux et enfin a une vision étrange de l'amitié. ☩ RACE : Vampire. ☩ TRAVAIL/OCCUPATION : Nettoyeur de scènes de crime vampiriques. ☩ SIGNES PARTICULIER : A un barbelé tatoué sur l'avant bras, partant du poignet jusqu'au coude. ☩ ALIGNEMENT : Loyal Mauvais ☩ DATE DE NAISSANCE : 26 novembre 1232. ☩ NATIONALITÉ : Ecossais, né à Edimbourg. ☩ CLASSE SOCIALE : Riche. ☩ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel. ☩ SITUATION : Célibataire. ☩ AI-JE ÉTÉ FICHE DANS LES CAMPS ? : Non, jamais. ☩ PLUS GRANDE PEUR : Se voir retirer son job. ☩ AMBITION(S) POUR L'AVENIR : Parvenir à se stabiliser peut-être & assouvir encore un peu plus d'humains. ☩ PARTICULARITÉS SPÉCIALES : Que nenni ! Ou peut-être sa particularité à pouvoir rester un maximum d'une heure au grand jour. DERRIÈRE L'ECRAN Mon pseudo est Mary-Pancakes, suis une fille et j'ai 19 ans. (attention forum déconseillé aux moins de 16 ans) Je fais 40, ptetre plus, je ne m'amuse pas vraiment à compter les lignes à vrai dire, et j'ai découvert le forum grâce à Google, un grand ami. Ma fréquence de connexion sera d'à peu près 5/7 et mon mot pour la fin sera FAN-TAS-TIC !

 

TON HISTOIRE

 Je me suis battu pour mon pays. Je l'ai servi au prix de ma vie. J'ai tué des Norvégiens, de mes flèches. J'ai vécu éloigné de ma famille pendant cinq années qui n'ont été que sang et souffrance. Tout s'est précipité le 30 mars 1265, peut-être plus tard, ou plus tôt. Nous n'avions plus vraiment de repères... Les Norvégiens continuaient leurs attaques, et nous, gardions nos lignes, les assaillants de flèches. Alexandre III encourageait les troupes, nous remotivant. Nous étions nombreux à vouloir rentrer chez nous, mais sans botter le derrière de Magnus VI et de ses hommes, il allait être compliqué de reprendre une vie normale. Nous nous battions pour un territoire, nous revenant de droit. De là était donc parties les hostilités. Ce jour-là donc, j'étais monté sur ce cheval, aux crins noirs et blancs, un cheval de trait. Monté dessus, je percevais les ennemis plus loin. Mais eux aussi pouvaient me voir. Ce fut assez rapide. une flèche, logée dans la poitrine. Notre armure de cuir ne faisait pas vraiment l'affaire, il fallait se l'avouer. Je tomba rapidement en arrière. Un des généraux de notre roi d'Ecosse se précipita sur moi, demandant de l'aide à certains de ses hommes pour m'éloigner de la ligne de front. Je souffrais le martyr. Je pus apercevoir que la dite flèche était plantée juste en dessous des côtes. Ca faisait un mal de chien à chaque mouvements, respiratoires ou non. Tout devenait flou. J'entendais autour de moi les voix s'éloigner, mes muscles se relâchaient, je n'arrivais plus à retenir ma tête qui se balançait dans tous les sens. Mes pensées allèrent à ma femme Kate, et de notre petit soldat : Harry. Il n'avait que 2 ans quand je les avais quittés. J'aurais tellement aimé revoir leurs visages... On me reposa sur une table, à l'abri, sous une tente surement. La nuit était tombée petit à petit. La lueur des bougies éclairaient faiblement. C'est à ce moment là que je perdis connaissance. Tout n'était que sombre. Un cauchemar vint troubler cet instant. Je voyais Kate, apprenant ma mort, Harry dans ses bras. Elle s’effondrant en larme et mon petit garçon ne comprenant ce qu'il se passait du haut de ses 7 ans. Cette scène me sortit de mon "sommeil". Moi qui pensais que c'était la fin. Je me trouvais... Je ne sais pas, j'étais froid. Et je pouvais bouger. Quelle étrange sensation. En me remuant encore plus, j'aperçus le ciel étoilé. J'étais.. Sous terre ? Le roi se trouvait assis dans son fauteuil, à deux mètres de moi, accompagné de deux de ses gardes.
- Bienvenue à toi mon enfant.
Je me sortis entièrement de cette... Tombe ? J'étais nu. Je me sentais plutôt bien, bien qu'un peu gêné de me trouver nu devant mon Roi. Je jeta un rapide coup d'oeil à l'endroit même où j'avais reçu la flèche. Plus rien, pas même une cicatrice. Je le regardais, interloqué.
- As-tu déjà entendu parler de la légende des vampires mon garçon ?
- Euhm... Oui mon Roi... Mais, ce sont des histoires pour enfants..!
- Et bien considères toi comme un conte enfantin alors. Car tu es désormais un vampire. Et je suis ton créateur.
Je tombais de haut. U-un vampire ?! Mais... Ce n'était pas possible ! Je me trouvais dans un rêve ! Les vampires sont des êtres sans compassion, buveurs de sang et violents ! Je ne pouvais pas être des leurs ! C'était IMPOSSIBLE ! L'un des gardes s'approcha de moi, me couvrant d'un long manteau de fourrure de mouton. Je pouvais sentir l'odeur de cuir comme si l'animal était encore en vie, près de moi. Je tomba à genoux au sol. Sa majesté se leva, et vint près de moi.
- Tu a été choisi Alekzander, maintenant, nourris-toi.
Il attrapa l'autre garde, le faisant tomber à terre. Il lui maintenait la tête en arrière, laissant en évidence son cou. Mes yeux furent attirés par celui-çi. Je pouvais apercevoir chaque battement dans ses artères. Je pouvais humer l'odeur de ce qui semblait être un met de choix. Le sang. Sans m'en apercevoir, mes crocs sortirent et je me jeta férocement sur le garde. Je m'abreuvais de ce liquide encore chaud, qui coulait le long de ma gorge. Quel délice. Je buvais encore et encore. Sentant une sorte de force grandir en moi. Je sentis une main me saisir au cou. M'éloignant de ma proie. Je ne voulais pas, je m'accrochais éperdument à ce qui était mon dîner, serrant la mâchoire, et arrachant les tissus. Je fus littéralement projeté en arrière.  
- Ca suffit ! dit mon maître.
Je ne comprenais pas, j'en voulais encore, j'étais mort de faim ! Je me rapprochais, tel un prédateur. Alexandre se mordit le poignet, faisant perler son sang, puis il en fit boire au garde. Que faisait-il ? J'étais tout prêt de lui. Le regardant minutieusement faire. Etrange... La plaie au cou de l'homme se referma. Puis le Roi plongea son regard dans celui apeuré de l'humain.
- Tu as été pris d'insomnies, tu es allé marcher quelques temps et tu vas repartir te coucher.
L'homme s'exécuta. Comme si de rien n'était. J'étais intrigué. Je m'essuya le menton du revers de ma main. Léchant les dernières traces de sang. C'était tellement bon.
[...]
Mon maître m'a éduquer durant 259 ans. J'ai vécu auprès de lui tout ce temps. Traversant les époques. Je n'étais plus du tout le même homme. Ma condition vampirique me fit devenir un homme plus fort. N'ayant plus aucun lien avec les humains. Ma famille d'autrefois ? Je les ai goûtés. Oui. Vous avez très bien compris. Je me suis délecté de leur sang. Jusqu'à la dernière goutte. Nous avons aussi gagné la bataille avec la Norvège. Ne pouvant agir que la nuit, nous avions décimé à deux le camp adverse. Quelle belle nuit..! Enfin ! Je vivais donc avec mon maître et ce jour-là resta gravé dans ma mémoire. Nous avions passé la journée enfermés dans une cave, dans nos cercueils respectifs. La nuit tombée, nous étions partis à la recherche de sang frais. Cela faisait pas mal de temps que nous faisions régner la terreur en Ecosse, laissant des traînées de cadavres vidés de leur sang derrière nous. Les religieux se méfiaient et tournaient la nuit dans les rues, armés de leurs chapelets d'argent. D'après leurs dires, Dieux leur avait appris à tuer les démons de la nuit, les suceurs de sang, les vampires. Alexandre en a fait les frais. Bien qu'il avait un âge avancé, il se fit attraper à l'aide de chaînes en argent. Il se sacrifia pour moi, voulant pour moi un bel avenir. J'ai tout fait pour que les prêtres me prennent, mais attirant leur attention, mon maître se fit tuer, devant mes yeux. Je ressentis une grande douleur, là où se trouvait anciennement mon coeur. Le jour se levait. Je ne pouvais rester plus longtemps dehors sans que je ne parte en fumée. Dans mon cercueil, je ressassais les années. Je ressentais un vide. Comme si je n'avais plus de raison de semer la terreur. Il fallait que je me ressaisisse. Et venger mon créateur. Je n'obéirais qu'à mes propres règles, et celles des autres, mais seulement si elles sont en ma faveur, et si j'y gagne. A partir de ce jour-là, je me mis à tuer tout tueur de vampire. Jusqu'à ce que je pense que mon Maître soit vengé. Durant toutes ces années, jusqu'à nos jours, j'accomplis ma vengeance. Si j'ai vent d'un assassin, je m'en charge. En le faisant souffrir comme il se doit. Et puis, il y a quelques années déjà, je fis la rencontre d'une humaine, à Bon Temps, en Louisiane. Juliet. Auparavant, je n'avais que des coups d'un soir, enfin, c'était aussi parce que je les vidais entièrement... Mais elle, j'avais envie de la garder près de moi. Une jeune et frêle humaine. Je la fis grimper au septième ciel, et elle me le rendait bien. Je m'abreuvais à son cou, de son sang chaud. Et ce fut la dernière fois que je la vis. Je l'avais laissée, comme un mouchoir utilisé que l'on jette. La laissant, avec un trou dans sa vie de deux mois. Oui, je suis comme ça. Sur un coup de tête, je l'avais largué. Me demandez pas pourquoi, j'en ai aucune idée. Durant ce laps de temps, j'avais retrouvé le Alekzander humain, doux comme un agneau. Peut-être un peu trop. J'avais peut-être eu peur de redevenir cet être faible.  J'étais reparti ensuite en Ecosse, pour me trouver un job. J'commençais à m'ennuyer dur comme ferme... J'avais décidé de monter ma "boîte" de nettoyeur de scènes de crime vampiriques. Dès qu'un vampire avait eu un appétit un peu trop vorace, je me chargeais de faire disparaître le(s) cadavre(s) ainsi que les indices. Quel beau boulot ! Je me faisais un compte en banque blindé comme pas possible. Mais je voyais plus grand. L'Ecosse avait peut-être des vampires, mais la Louisiane en regorgeait d'autant plus. J'allais donc fouler, encore une fois la terre des Etats Unis, accompagné de mes deux progénitures : Mary et Buzz.

TEST RP

Nous souhaitons voir comment tu écris en RP. Nous laissons le choix de sujet que tu souhaites utiliser. 30 lignes minimum pour cette seconde partie. Nous verrons si tu utilises la première, ou troisième personne. Ton style global et comment tu te débrouilles.

SEULEMENT POUR LES PV ET SCENARIO LE DEMANDANT !

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