Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier !
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Sujet: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mar 7 Jan - 23:04
Liliane C. Finnigan
L'habit ne fait pas le moine. Il ne faut jamais s'y fier.
Je vais me présenter ! Je m'appelle Liliane Capucine Finnigan. Il se trouve que je suis née le 13/12/1989 à Paris, mais avec des origines Américaines. Je suis donc franco-américaine et par déduction j'ai 24 ans. Je suis une fée. Je suis aussi célibataire, et je suis bisexuelle
On peut dire que côté caractère je suis plutôt adaptable, manipulatrice, joueuse, opportuniste, imprévisible mais encore souriante, agréable, sociable, maligne, pas si méchante que ça, fragile, débrouillarde et curieuse. Vous saviez que l'on peut me remarquer grâce à mon accent français et aussi grâce à mon regard curieux ? Je vais vous dire un petit secret, approchez donc ... Mon pécher mignon se trouve être le chocolat au lait. Et ma plus grande peur perdre mes dons. Oh j'allais oublier, ce que vous ne vous doutez pas c'est que je travaille comme étudiante en sociologie, et pour me détendre en sortant du boulot j'exerce ma passion qui se trouve être de faire du chantage à diverses personnes contre de l'argent, grâce à ma télépathie, pour m'assurer de ne jamais manquer de rien. Leur arracher des informations compromettantes et m'en servir comme appât à pognon, en gros.., surpris ? Mon avis sur les nouvelles prérogatives de l'état ? Je vais devoir me montrer trois fois plus prudente, et trois fois plus maligne.. Je pense sincèrement que l'état n'a rien dans le crâne. Qu'est-ce qu'ils veulent ? Se retrouver avec une révolte sur les bras ? C'est bien parti pour ça.. Après tout, ils ne menacent pas que les vampires.. J'ai hâte de voir le moment où les êtres surnaturels, quelque soit leur nature, finiront par s'allier. Ça risque de faire un joli tableau.. Si toutefois les êtres surnaturels sont assez malins pour s'entre-aider..
৩ Crédit : Tumblr
Ton histoire !
Moi ? Je ne suis que celle que tu finiras par qualifier de petite garce, lorsque j’aurais obtenu tout ce que je veux de toi. Rien de plus. Tu ne connaîtras pas mon nom, ni là d’où je viens. Tu ne sauras rien de moi, si ce n’est que je t’ai profondément entubé pour servir mes propres intérêts. Je ne fais pas ça par méchanceté. Non, vois ça comme une passion. Et comme un gagne-pain. Je dois bien manger, n’est-ce pas ? Et je dois bien me payer mon studio, ainsi que les cours qui me feront devenir quelqu’un. Non, non, je te vois venir de loin.. Bien sûr que je ne suis pas une profiteuse ! Quoi que. C’est vrai, je suis parfois un tantinet opportuniste.. Mais que veux-tu. Je dois vivre. Et je ne peux compter que sur moi-même. Que sur mes talents. Tu ne sauras jamais rien de la façon dont j’ai appris que tu trompais ta femme, ou que tu blanchissais de l’argent. Et tu auras beau vouloir me tuer, me faire du mal, crois-moi, je suis loin d’être sans défense. Mais tu t’en doutes déjà, n’est-ce pas ? Ça me fait sourire, tout ça. La façon dont je joue avec toi, et la façon dont tu tombes dans le panneau. C’est divertissant. Ce n’est qu’un jeu de chantage, finalement.. Mais c’est plaisant d’avoir tous les pouvoirs. De contrôler la situation. Toi, ça t’agaces, hein ? Ça te donne envie de me coller une balle entre les deux yeux, n’est-ce pas ? Et tu ne le fais pas, simplement parce que tu crois que ma disparition entrainera ta chute. C’est vilain de mentir, dit-on.. Et pourtant, je te mens effrontément, et tu ne le remarque même pas. Pauvre petit toi..
Là où je te mens, c’est lorsque je te dis qu’il y a des gens derrière moi. Que s’il m’arrive malheur, tous tes petits secrets seront dévoilés. Tout ça, c’est juste du bluff, mon grand. Du simple bluff. Parce que je n’ai plus personne. Et je ne fais confiance qu’à moi-même. Je sais par expérience que c’est trop facile de se faire avoir, et je n’ai pas envie de me faire prendre pour une imbécile. Pas de famille, nop. J’ai coupé les ponts avec mes parents à mes 18 ans. Tchao les copains.. Toute façon, pour ce qu’ils m’ont apporté.. Absolument rien. Même pas la sécurité. Je n’étais pas désirée, tu vois. L’enfant qui arrive comme un cheveu sur la soupe au sein d’un couple qui n’a pas un rond. C’est tellement pitoyable et banal, finalement. Des sortes d’adolescents qui vivaient simplement grâce aux aides de l’état, voilà ce qu’étaient mes parents. Une mère junkie, un père plus tout à fait sain d’esprit.. L’une dépendant du chômage, l’autre touchant une maigre pension pour invalidité. Un couple vivant dans un espèce de dépotoir. Pas vraiment la grande classe. Tu m’étonnes que je ne parle jamais de mon passé. Jamais. Parce qu’entendre à 8 ans dans les pensées de son propre père « Nan, c’est dégueulasse, mais en même temps, qui saura si je le fais ? Hein ? Juste pour tâter. Juste pour qu’elle aime un peu ça.. » ce n’est pas ce qui laisse un souvenir très plaisant, surtout lorsqu’on comprend le véritable sens de ces mots en grandissant. Mon père ne m’a jamais touchée. Je ne sais pas par quel miracle, peut-être qu’il lui restait un peu de bon sens.. Ou que je lui faisais peur. Je leur ai toujours fait peur, à mes parents. Quand j’arrivais à leur dire ce qu’ils avaient dans la tête. Ils ont toujours flippé. Ils n’ont jamais compris comment j’arrivais à faire ça. J’ai mis du temps à le comprendre moi-même.
Tu vois, une enfance merdique, une famille merdique.. Et pourtant, il parait que je suis née dans une des plus belles villes du monde. Pas étonnant que je sois devenue comme ça, finalement. J’ai connu la galère et la faim dès les premières années de ma vie, parce que l’argent passait dans la came de ma mère la plupart du temps. Et personne n’a jamais signalé la situation, sinon je me serai retrouvée placée à l’aide sociale à l’enfance. Peut-être que ça aurait été mieux. Peut-être pas. J’en sais foutrement rien. Mais je remercie quand même ma mère pour un truc ; grâce à elle, j’ai bien compris que la drogue, c’est mal. Camée jusqu’aux yeux, la pauvre. A 30 ans, elle en paraissait 50 et à la regarder, on aurait juré qu’elle allait mourir dans les jours à venir. Elle était moche, ma mère. Alors qu’il parait qu’elle était belle, avant. C’est triste. Bref ! C’est vers mes 12 ans que j’ai commencé à vouloir savoir pourquoi j’étais capable de lire dans la tête des gens. Pourquoi j’étais si bizarre.. Je n’avais pas franchement d’amis, en fait. Je finissais toujours par faire une bourde, ou par relever une pensée sans faire exprès.. Et les autres gamins ne comprenaient pas. Ils en parlaient à leurs parents, et leurs parents leur disaient de ne plus me parler. Alors, à la récré, j’étais toute seule à jouer avec mes billes. Ça forge le caractère, ce genre de truc. J’ai appris à m’auto-suffire et je trouve ça pas plus mal, en fait. Donc, à 12 ans, j’ai voulu mettre un nom sur ce que j’étais capable de faire. Ça a été facile à trouver ; télépathie. Le genre de trucs qu’on ne voit que dans les films.. J’étais télépathe. Et je me suis fait pas mal de film sur l’origine de ça. Est-ce que j’étais une mutante ? Ou bien est-ce que je venais du futur ? Des hypothèses débiles.. Mais, tu vois, la réalité l’est pas mal aussi, finalement.
Un jour, j’ai rencontré une nana qui était comme moi. C’était au lycée. Elle s’appelait Agnès, une petite brunette timide de laquelle j’avais capté une pensée. Alors, je me suis mise à penser, moi aussi, et sans nous en rendre compte – enfin, je crois qu’elle savait ce qu’elle faisait, elle – on s’est mis à discuter comme ça. Sans ouvrir la bouche. Pas une seule fois. Quand je m'en suis rendue compte, j'ai ris, et elle a rit avec moi. Complices dès les premières secondes.. On est tombée dans la même classe. Et comme elle était du genre intello, elle me donnait toutes les réponses aux contrôles sans ouvrir la bouche. On avait juste à se balancer nos pensées.. Rien de plus. Et puis, j’ai voulu comprendre comment on faisait ça. Avec le temps, elle était devenue ma meilleure amie, la première personne que j’aimais.. Elle vivait avec son père, paraissait-il que sa mère s’était fait la malle à sa naissance.. J’aimais bien son père. Il était instit’ et il faisait le meilleur chocolat au lait du monde.. Bref, un jour, je lui ai demandé comment on faisait pour parler par la pensée et elle a rigolé. Je n’ai pas compris pourquoi, sur le coup. Je suis restée un peu perplexe face à elle, tu vois. Je pensais qu’elle se foutait de moi. Elle m’a juste donné rendez-vous chez elle, après les cours. Et quand je suis arrivée chez elle, une bonne tasse de chocolat au lait m’attendait sagement à côté d’Agnès et de son père. C’était presque flippant. J’avais genre.. 15 ans ? 16, peut-être ? Et ils avaient l’air tellement sérieux d’un coup. Presque tendu. On s’est installé. Et on a parlé. Longtemps. Et le mot a fini par tomber. Fée. Apparemment, j’étais une fée. Ouais, imagine la tête que j’ai fait quand elle m’a dit ça. Liliane la fée, ça ne sonnait pas très bien.. Et pourtant, ses explications tenaient la route. Tout était cohérent.. Tout. Sauf que j’avais passé l’âge de croire aux fées. Alors, elle m’a montré. D’abord, elle m’a montré la lumière. Puis, elle m’a montré une sorte de passage de fées. Et là, j’ai commencé à la croire. Je n’avais pas vraiment le choix, à vrai dire.. Elle a fini par m’expliquer que mon sang de fée était comme dilué. Qu’il me venait d’un membre de ma famille, lointain ou non, mais pas de mes parents. Ça pouvait être n’importe qui. Et elle m’a expliqué qu’elle, ça lui venait de sa mère. Et qu’elle n’avait pas 16, mais 5 ans. Cinq ans. Il fallait que j’avale ça.. Elle m’a expliqué que c’était parce que ça lui venait directement de sa mère, et tout un tas de trucs que je n’ai pas compris. Bordel, elle n’avait que 5 ans.. Son père et elle avaient trouvé tout un tas d’astuce pour camoufler ça. J’étais presque admirative.. Dans les semaines qui suivirent, j’ai demandé à mes parents si quelqu’un de la famille savait faire ce que je faisais. « Ton arrière-grand-mère, cette folle, ouais. Elle a fini sa vie dans un asile de fous. C’est c’qui va t’arriver, à toi aussi. » De la bouche de mon père, c’était presque comique à entendre. Mais Agnès avait eu raison. J’étais une fée. Il fallait encore avaler la pilule.. Agnès m’a appris à me servir de ma « lumière » et a été impressionnée de voir que j’avais appris toute seule à contrôler ma télépathie. Elle m’a beaucoup apporté, cette fille. Mais on s’est perdue de vue. Déménagement. Elle est partie vivre à Marseille, je suis restée à Paris..
J’ai réussi à obtenir mon baccalauréat littéraire. Une putain de fierté, pour moi. Mais mes parents n’en avaient rien à cirer. Ils m’ont juste dit que si je voulais aller à la fac, je devais me débrouiller pour trouver l’argent. C’est à cette période, alors que j’avais 17 ans, que j’ai commencé à utiliser réellement ma télépathie. Pour faire du chantage. J’avais vu ça dans un film. J’ai commencé par des petits poissons. Genre, des adultères. Des mariages blancs. Des histoires de maltraitance sur mineur. Des trucs comme ça. Rien que des petits poissons. C’était facile. J’avais juste à écouter les pensées et à m’en servir. Des fois, c’était facile de voir les mecs pas réglo. Des fois, ça l’était moins.. Mais j’ai commencé à me faire de l’argent comme ça. Grâce au chantage. Des potins, c’est pas ce qui manque à Paris. Et j’ai même pu me payer ma fac de sociologie. J’ai toujours trouvé ça intéressant. Apprendre à comprendre une société, un mode de vie, des notions telles que l’attachement à la famille.. Et mes études me plaisaient. Elles me servaient à manipuler les autres. A trouver leur point faible et appuyer dessus jusqu’à faire suinter le pognon.. Mais un jour, je me suis attaquée à plus fort que moi. Un réseau de dealers. Le genre qui rigole pas. Et surtout pas avec une gamine comme je l’étais. J’ai voulu faire chanter un des dirigeants, je me suis retrouvée avec le canon d’un flingue posée sur la tempe. J’avais alors 20 ans. Ça faisait deux ans que j’étais partie de chez mes parents, que je m’étais trouvée une petite chambre de bonne et que je faisais mes études. Il m’a laissé le choix ; dégager ou crever. Et quand il parlait de dégager, c’était non seulement de la ville, mais aussi du territoire français, je l’avais bien compris. Et je savais qu’il ne bluffait pas. Je le lisais dans sa tête, qu'il n'hésiterait à me tuer si la réponse ne lui plaisait pas. Il avait le doigt sur la détente. Une petite pression, et ma cervelle explosait.. J'ai choisi de vivre, et de dégager. De les oublier, et de me taire.. Et puis, de toute façon, mise à part mes études, je n’avais rien qui me rattachait à la France. Absolument rien.
Merci Papa d’être né sur le territoire Américain. J’avais la double nationalité. Je pouvais m’envoler pour l’Amérique quand je voulais. Et je me suis envolée vers la Louisiane. Il paraissait que les gens y étaient accueillants et les potins croustillants.. J’ai dû tout reprendre à zéro. Ma vie toute entière. Je ne pouvais compter que sur moi-même.. Pendant un an, j’ai vécu dans la rue, à côtoyer les SDF, les camés et les ivrognes. Et les vampires. Visiblement, j’étais un aimant à vampires et je remercie Agnès de m’avoir appris à me servir de ma lumière. C’était un soir, quelques mois après mon arrivée à Shreveport, que le premier m'a attaqué. Je faisais la manche à côté d’un supermarché et j’ai vu cet homme étrange. Vraiment étrange. Il a posé une pièce dans ma casquette, il m’a sourit. Je lui ai rendu son sourire, naturellement. Et puis, je sais pas. Il s’est penché vers moi et j’ai compris qu’un truc clochait. Il m’a regardé dans les yeux et il m’a dit de ne pas faire de bruit. J’ai fait tout le contraire. J’ai crié. J’ai hurlé à plein poumon, et l’homme m’a attrapé par la gorge et m’a emmenée dans une ruelle à une telle vitesse que j’en ai eu la nausée. Et là. Là, il a sorti ses canines. Mon seul réflexe a été de lui balancer ma lumière en pleine figure et de partir en courant pour aller me réfugier dans le magasin devant lequel j’avais quémandé un peu d’argent.. Après lui, il y en a eu d'autres. J'ai frôlé la mort suffisamment de fois pour ne plus en avoir peur, maintenant.. Je l'ai frôlé suffisamment, néanmoins, pour chérir ma vie plus que n'importe qui, probablement.. Je n'ai pas peur des vampires et je ne leur en veux pas de me prendre pour cible. Ils chassent, c'est dans leur nature.. et, apparemment, je sens bon. Très bon.
A ce moment là, j’ai compris que j’étais loin d’être en sécurité dans la rue. Et qu’il fallait que je reprenne mes petites affaires. Que je me reprenne en main, tout simplement. Et j’ai recommencé à me mêler de la vie des gens. A m’approcher de ceux que je pouvais atteindre pour lire en eux et découvrir leurs vices cachés. J’ai recommencé à me faire de l’argent. Beaucoup plus qu’en faisant la manche. Et j’étais plus prudente, aussi. J’avais dû apprendre la prudence.. J’essayais de m’attaquer à des cibles pas trop grosses, mais suffisamment pour me rapporter quelque chose de correct. Une sorte de petit salaire.. J’ai pu louer un studio. Et j’ai pu reprendre mes études là où mon imprudence passée m’avait forcée à les arrêter. Il m’a fallu encore un an pour me refaire une situation correcte. Deux ans à lutter pour ma survie, à avoir peur, froid et faim.. Deux ans avant de commencer à avoir un certain poids et une certaine influence sans jamais dire qui j’étais. Aujourd’hui, j’ai une belle vie. De l’argent de côté, des études qui me plaisent et un studio que j’ai décoré à mon goût. J’ai eu des petits-copains. Et des petites-copines. Mais rien de franchement sérieux.. Et je m’en tape sincèrement. Mais dès l’instant où je me suis pensée en sécurité, y’a eu ce message.
« Nous interrompons notre programme actuel pour laisser la parole au Gouverneur Truman Burell qui a convoqué d'urgence une conférence de presse, nous serons en direct du manoir du gouverneur situé à Baton Rouge...
- Avec les derniers incidents du soir d'Hallowen, il est dans mon devoir de Gouverneur de protéger mon peuple aujourd'hui et présentement. Je jure de servir et de protéger les citoyens de cet état. Citoyens, pas vampires. Je ne parle pas que de vampires aujourd'hui, car nous avons aussi fait d'autres découvertes. Des êtres surnaturels de toutes sortes nous ont été dévoilés cette nuit-là et nous savons aujourd'hui que nous ne sommes pas seuls. Loups-garous notamment et d'autres créatures toutes aussi dangereuses. Qui sait ce qu'il se cache dans nos terres, qui sait les dangers qui nous guettent... Ma question est: de quoi sont-ils capables ? »
Je n’ai pas eu besoin d’entendre la suite pour la savoir. Pour la deviner. Pour deviner que nous allions être traqués.. Vampires, métamorphes, loup-garous, fées.. Peu importe notre race.. Pour le Gouvernement, nous étions les cibles à abattre. Ce n’est plus sûr pour moi, dehors. Ni pour mes semblables, et pour les autres.. Mais je ne veux pas fuir à nouveau. J’aime ma vie. Je ne veux laisser personne me l’enlever..
Derrière ton écran !
Hello ! Derrière mon personnage qui ressemble à deux goûtes d'eau à Mia Wasikowska, je suis en réalité une fille, j'ai 20 ans (21 dans moins d'un mois 8D). Je m'appelle Marine mais on me nomme aussi Roween sur la toile. Ma présence sur le forum sera de 7/7 en général. Je fais environs entre 800 et 1000 de mots. J'ai connue le forum grâce à je sais plus, mais j' y suis admin ♥. Mon mot de la fin sera ouaip, un TC. L'appel était trop fort u.u
@ Pomme Ecarlate
Dernière édition par Liliane C. Finnigan le Mer 8 Jan - 1:09, édité 1 fois
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mar 7 Jan - 23:37
rebienvenue alors ;)
Petite fée ;)
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mar 7 Jan - 23:51
Rebienvenuuuue x)
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 1:06
Merci les filles !
Fiche terminée ! Je laisse mes staffeuses préférées venir me valider, à moins qu'elles ne veuillent que je m'auto-valide
Gabriel d'Avaugour
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 10:24
Whouaaaaaaaaaaaaaaaaaaa *__* !
Ta fiche est absolument parfaite Lili <3 ! C'est donc tout à fait normal que je te valide avec plaisir, je t'ajoute à ton groupe et ton rang étou étou !
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 11:07
Merki :D
Jules Weasley
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 12:11
fiche tellement express que j'ai pas eut le temps de te souhaiter la bienvenue :o bienvenue parmi nouuus
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 13:21
Hahaha ♥ Merci Jules ! ^^
Jules Weasley
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier ! Mer 8 Jan - 13:34
(je viens de tilter que c'est un TC :arrow:)
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Sujet: Re: Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier !
Liliane ▽ l'habit ne fait pas le moine.. il ne faut jamais s'y fier !
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