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 Let the cat in (Eden Ivanovitch)

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MessageSujet: Let the cat in (Eden Ivanovitch)   Let the cat in (Eden Ivanovitch) EmptySam 2 Nov - 14:49

« Let the cat in »

« Jack et Eden »

Depuis combien de temps faisait-il ça ? Suivre ce type, Eden, partout, à aller le voir chez lui pour quelques caresses et un peu de compagnie. Cependant autant mettre quelques petits points au clair tout de suite. Il va le voir oui, mais sous forme féline. Jack s’est toujours senti plus proche des chats que de tout autre animal, alors pour aller voir cet homme qui intrigue tant le métamorphe, quoi de mieux qu’un chat ? C’est mignon un chat, ça fait des yeux trop chou quand ça veut des câlins et on excuse plus facilement un chat parce que l’on sait qu’ils sont des êtres qu’on ne commande, à peine que l’on canalise. Il simplement espéré, la première fois qu’il lui avait rendu visite, qu’il ne soit pas allergique aux chats. Parce qu’on peut adorer un animal et y être allergique, ce qui se révèle être assez tragique. Heureusement pour lui, quelques miaulements et grattages sur la porte du concerné et ce dernier avait ouvert la porte, prenant dans ses bras l’animal sans aucune crainte ni hésitation. Ceci fut la première fois que Jack s’est introduit chez lui.

La question première demeurait cependant…Depuis combien de temps faisait-il cela ? Ca ne lui ressemblait pas. Ca n’était déjà pas lui que de prendre une forme animale alors qu’il ne supportait pas son don habituellement (il faut croire que l’influence de la vétérinaire commence à porter ses fruits). Le serveur préférait laisser cette question sans réponse pour le moment, n’étant pas enclin à admettre que oui, ce type le poussait à agir comme il ne l’aurait pas fait habituellement. Se transformer pour aller le voir, sérieusement ? Lui qui déjà rechigne à prendre forme animale lors de la pleine lune alors que sa biologie le lui imposerait presque, là il le fait volontairement et presque avec entrain.

Même s’il ne peut pas communiquer avec Eden, pas verbalement du moins, ça n’empêchait pas Jack d’en apprendre plus sur lui, en observant son intérieur, en l’observant lui et ses habitudes. Certaines plus mauvaises que d’autres. Comme le fait de devoir boire beaucoup trop pour s’endormir. Il ne blâme pas le fait de boire en lui-même (il travaille dans un bar après tout et il ne dit que rarement non à un verre lui-même) mais pour s’endormir ça n’est pas le mieux. Enfin il peut parler, quand il arrive à s’endormir c’est pour trois-quatre heures maximum et il lui faut bien se tourner et se retourner avant d’arriver à dormir. Alors, bien que loin d’être une solution parfaite, Eden semblait avoir trouvé une solution rapide. Ce qu’il a aussi remarqué, c’est la façon de se nourrir de son intérêt du moment. Là aussi il était relativement mal placé pour donner le moindre conseil. Ce n’était pas pour ça qu’il devait rester sans rien faire.

Alors certes, il se voyait mal trainer un plat quelconque avec lui pour arriver devant la porte. Ça serait très louche, non ? A la place, il avait fait des cookies. C’est simple, rapide et on peut en faire un paquet plastique qu’on transporte. C’est comme ça qu’il est arrivé, en voiture (parce qu’il ne faut pas déconner non plus, il ne traverse pas la moitié de la ville en forme féline) dans le quartier où habitait Eden pour finir son chemin en chat. Ca lui prend toujours du temps, parce qu’il doit attendre que le gardien regarde ailleurs pour passer vers les catacombes, pour ensuite rejoindre la porte désirée. D’autant plus que c’était toujours au petit bonheur la chance. Soit il était là, soit il devait attendre qu’il rentre.

Le moment fatidique était arrivé, il gratta à la porte, miaulant pour faire savoir qu’il était là à l’occupant de l’appartement. Entendant des pas, il repris le sachet de cookies maison dans sa gueule et attendit que la porte s’ouvre pour le déposer au sol, au pied de l’homme face à lui.

© Chieuze

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MessageSujet: Re: Let the cat in (Eden Ivanovitch)   Let the cat in (Eden Ivanovitch) EmptySam 2 Nov - 23:37






Let the cat in
Jack & Eden

«Ce chat. Les chats sont d’ordinaire des bêtes que j’adore. Indépendantes, demandeurs de câlins sans tomber dans l’excessivité prisée par la race canine, des poils qui leur confèrent une couverture douce et soyeuse, des yeux expressifs… Mais ce chat, n’était pas ordinaire. Je suis sorcier, certes. Mais aucun de mes ‘dons’ n’auraient pu m’aider à reconnaître cet animal si ce n’était : les voix. Ces fantômes qui me murmurent à l’oreille, constamment. Pour me parler de la vie qu’ils ont menée, de leur dernier parent vivant et en danger ou me prévenir du danger qui s’annonce. Les morts savent tout. Ils voient tout et me protègent de la réalité, en un sens. Sauf que les voix sont parfois trop nombreuses. Si nombreuses qu’en fait, elles m’obsèdent, me hantent et finissent par me rendre fou. Je suis obligé de boire pour ne plus les entendre, pour pouvoir souffler et vivre ma vie. Mais je leur étais reconnaissant, à ces voix, lorsqu’elles agissent pour mon bien. Comme pour ce chat. Je savais qu’il n’était pas comme les chats que l’on rencontre habituellement. Il est mignon, touchant, câlin et tout ce que l’on s’attend d’avoir chez un félin, certes. Mais il y a plus que ça. Et lorsque j’ai appris ce qu’il était vraiment, j’ai longuement hésité avant de me décider. Le châtier pour avoir tenté de me duper, ou au contraire laisser faire pour voir jusqu’où son audace le mènerait. Pourquoi, d’ailleurs ? Pourquoi s’attacher à un maître tel que moi ? Je n’ai pas d’enfants pour le papouiller, pas de femme pour lui donner à manger, je ne fais pas collection de pelotes de laine ni n’est fan de l’odeur de la litière au petit matin. Au fond, j’aime les chats, mais j’aime aussi ma tranquillité de cowboy solitaire. Pourquoi ais-je pourtant accepté qu’il vienne me rendre visite, toutes les semaines ? Parfois même tous les jours ? Je n’en sais rien. Je suppose que la solitude me pèse, parfois. Je me dis qu’il ne me veut pas de mal. Après tout, ce n’est qu’un chat.

Ce miaulement. Je le reconnaitrais entre milles. La porte ouverte, je ne peux m’empêcher de l’observer un moment, son sachet de cookies entre les babines, l’air de rien. On lui aurait donné le bon dieu sans confession, l’animal ! « C’est pour moi ? » Je m’abaisse, esquissant peu à peu un sourire conquis. J’admets que tu es craquant, à jouer les séducteurs. « Et qu’est-ce que je t'ai fait pour mériter ça ? » l’interrogeai-je en passant ma main sur le haut de son crâne, le gratouillant tout doucement en signe de reconnaissance. Si je parle souvent aux animaux ? Tous les jours, pourquoi ? « Alors, monsieur le chat. Qu’as-tu fait de beau, aujourd’hui ? » finis-je par soupirer en l’invitant à entrer, refermant la porte à double tours derrière moi, tout en allant déposer le sachet de cookies sur la mini-table du salon. « Tu as faim ? Je t’ai acheté du lait, et du thon. Les chats aiment le poisson, non ?! » ajoutai-je comme s’il pouvait me répondre. Versant le liquide blanchâtre dans un bol, et le thon dans un autre plat, je les dépose alors à ses pieds, non sans m’amuser à enrouler un moment sa queue entre mes doigts. Je sais. Les chats ont horreur de ça. Moi, j’adore.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart


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MessageSujet: Re: Let the cat in (Eden Ivanovitch)   Let the cat in (Eden Ivanovitch) EmptyDim 3 Nov - 15:21

« Let the cat in »

« Jack et Eden »

Parfois Jack se demandait si ce type avait l'habitude de recevoir quoi que ce soit. Puis il se rappelle la dure réalité: non, il ne reçoit pas tant de visites que cela. Le chat qu'il est quand il vient le voir est bien l'un des rares êtres vivants à venir jusqu'aux catacombes où il habite (à côté du moins) pour lui apporter un peu de compagnie. Il ne semble pas en demander plus que cela mais le serveur est un être têtu et quand il a décidé de quelque chose, il va jusqu'au bout de sa décision. De toute façon, maintenant qu'Eden l'a laissé entrer chez lui, il pouvait toujours courir pour que le métamorphe le laisse en paix. Une fois infiltré dans l'intimité, un chat qui se sent bien est un chat qui reste. Que Jack soit à l'origine un être humain ne change pas grand chose; il ne contrôle pas assez son pouvoir pour réussir à taire totalement les instincts animaux que son animal fétiche ressent. C'est probablement ce qui lui permet de garder une couverture correcte: il n'imite pas le chat, il est le chat. Cependant il ne sait pas pour les voix qui murmurent beaucoup de choses à Eden, dont la véritable identité de ce chat noir aux yeux trop bleus qui bien le voir peut-être un peu trop régulièrement.

La nouvelle question est l'une de celle qui lui ferait espérer que même sous forme animale il puisse parler. Parce qu'il lui aurait répondu, sans même se poser la question du politiquement correcte, que ce n'est pas une récompense mais parce que tu a une hygiène de vie alimentaire qui fait peur gars. Après, il pouvait parler lui aussi; ses repas étaient loin d'être réguliers ou franchement équilibrés, mais au moins il faisait un peu de cuisine, et mangeait avec appétit. Lui mangeait moins qu'un moineau, sérieusement. Ouais, d'accord, Jack s'inquiétait pour la santé de ce type que, au final, il ne connaissait qu'à peine. Il ne pouvait pas faire autant qu'il l'aurait voulu, sa forme animal l'en empêchant (il entendait d'ici Elyane crier avec sa joie de vivre naturelle qu'il s'acceptait enfin, non c'est faux) mais il faisait ce qu'il pouvait. Ce ne l'empêchait pas de vouloir faire tellement plus, il devait ronger son frein cependant. Ce qui avait commencé comme un flirt innocent au boulot devenait une véritable obsession. Un attachement qui le prenait par surprise et qui lui donnerait probablement une crise cardiaque quand il s'en rendrait compte, lui qui a toujours fait en sorte de ne pas s'attacher outre mesure, avait l'instinct de prendre soin de cet homme qui ne réclamait rien qu'un peu de tranquillité.

Puis ça parla nourriture alors qu'il recevait une petite caresse sur le haut du crâne...Hum, les ronronnements se mirent en route avant même qu'il n'y pense. Là où il avait de la chance, c'était qu'Eden lui donnait des vrais aliments à manger, pas de la pâté ou des croquettes. Ce qui fait que, lorsque le lait et le thon arrivèrent devant lui, il y alla de bon cœur. On ne refuse pas de la nourriture généreusement donnée. Non sans lui miauler son mécontentement à son geste, accompagné d'un petit coup de patte sans griffe, sans force ni violence, juste une mise en garde qu'il n'aimait pas cela. Jack laissa de côté le lait pour le moment (il n'en n'était pas un grand fan de toute façon) et alla se frotter contre les jambes d'Eden une fois qu'il eut finit de manger. Il restait du thon, mais il aurait bien le temps de le manger plus tard.

© Chieuze

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MessageSujet: Re: Let the cat in (Eden Ivanovitch)   Let the cat in (Eden Ivanovitch) EmptyDim 17 Nov - 9:28






Let the cat in
Jack & Eden

C’est qu’il avait son petit caractère mine de rien. Un sourire avait même envahi mes lèvres lorsque Jack prit la peine de me faire comprendre que, comme tous les chats, il n’appréciait pas qu’on joue un peu trop avec sa queue. Amusé par son comportement félin, je le laissai donc se nourrir en paix pendant que j’allais moi-même me chercher une bière à avaler pour oublier, une fois n’est pas coutume, ces voix qui n’en finissaient plus de me hanter. L’autre soir, j’avais pensé même devenir fou. En utilisant l’une des formules inscrites dans mon vieux grimoire de sorcellerie, une ombre était soudainement apparue dans mon champ de vision. Depuis plus rien. Aurais-je des visions ? Ou alors mes pouvoirs se développant peu à peu, je suis désormais presque en mesure de voir les morts, en plus de pouvoir les entendre ? Si tel était le cas, ce serait une bonne façon de leur faire comprendre par un doigt d’honneur bien senti combien ils peuvent m’empêcher de dormir parfois, et de les envoyer paître au lieu de toujours devoir boire de l’alcool pour les annihiler de mon esprit. Passons. « Tu veux des câlins, c’est ça ? Désolé le chat, mais ce n’est pas vraiment mon rayon. » soupirai-je comme si l’animal pouvait me comprendre alors que je reposais ma bière sur la table haute du salon. Les démonstrations d’affection, qu’importe la forme, m’étaient totalement étrangères. D’une part, parce qu’elles ne me semblaient pas utiles pour avoir des rapports normaux et non conviviaux avec le genre humain, d’autre part, parce que ma condition de célibataire endurci ne me dérangeait aucunement, enfin, parce que je ne saurais de toutes façons pas comment m’y prendre si je devais un jour éprouver des sentiments pour quelqu’un. Dragueur, moi ? Absolument. Je sais parfaitement flirter, en revanche. Mais uniquement pour obtenir quelque chose. L’amour, c’est plus complexe que ça et c’est la raison pour laquelle c’est un domaine que j’évite le plus possible. Cependant, allez savoir pourquoi, j’avais répondu à Jack, de manière plus ou moins claire, passant d’abord ma main le long de son blanc, parcourant son échine, avant de le prendre dans mes bras pour l’observer, le visage fermé. « Bon, d’accord. Mais ce ne sera notre secret. Si tu en parles à qui que ce soit, je te fous dehors. » murmurai-je, le visage à deux centimètres de son museau. Me levant de ma chaise, je me dirige alors vers le canapé, pour être plus à l’aise, et m’allonge de tout mon long en prenant soin de poser le chat sur mon torse, afin de pouvoir le papouiller tout en réfléchissant. Mes doigts, si souvent portés sur son dos, eurent même l’audace de s’infiltrer dans sa crinière, massant longuement son ventre rond du repas qu’il venait d’avaler, et s’amusant des ronronnements de plus en plus bruyants qui se faisaient entendre. Un vrai moteur. « Alors, dis-moi un peu… comment se fait-il que tu viennes si souvent me voir, hum ? Tu n’as pas de maître ? De foyer doux et chaleureux ? » Parce que vivre dans des catacombes, ce n’était pas ce qu’on pouvait dire un ‘foyer’ des plus avenants, même pour un chat. « Tu es tatoué peut-être ? » Dans le doute, et juste pour voir sa réaction, ma main s’empara de son oreille pour l’écarter légèrement afin de vérifier un potentiel tatouage. « A moins qu’il ne s’agisse d’une puce… » Là par contre, je ne pouvais pas vérifier, à moins de le dépecer entièrement.

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MessageSujet: Re: Let the cat in (Eden Ivanovitch)   Let the cat in (Eden Ivanovitch) EmptyDim 24 Nov - 21:35

« Let the cat in »

« Jack et Eden »

Oui ça il avait bien remarqué que les câlins ou les contacts humains en général n’était pas franchement le truc d’Eden, mais il était un chat. Or les chats, de temps à autres, réclamaient des câlins. Même s’il avait refusé, Jack aurait patienté, tranquillement, que l’autre homme s’assoit, ou s’allonge et il aurait grimpé sur ses genoux ou se serait mis là où il aurait pu quémander des câlins sans trop de soucis. Les chats étaient malicieux comme cela et Jack aussi. Ca n’était pas pour rien qu’il avait choisi cet animal comme forme fétiche ; ils étaient astucieux, indépendant mais sociables, tranquilles mais la fois féroces quand le besoin s’en faisait ressentir. Il s’y retrouvait beaucoup dans cet animal. Loin d’être pourtant le premier animal en lequel il s’était transformé, mais au fil du temps il avait compris son attachement pour ces bêtes à poils.

Il aurait encore la parole dans cette forme, Jack ne se gênerait pas pour faire remarquer à Eden que, pour quelqu’un qui dit ne pas être très à l’aise avec les câlins il s’en sortait plutôt bien pour le moment. Le flanc, le dos…Des endroits où les chats aiment à se faire caresser en général. Il ne dit rien cependant, se contentant de ronronner à ces bons soins. Il eut un petit miaulement surpris en se sentant soulever dans les airs. Il ne s’y était pas attendu à cela…Ni à ce qu’il dise quelque chose comme « Si tu en parles à qui que ce soit ». Les chats ça ne peut pas parler. Personne (hormis deux femmes) savaient ce qu’il était, il n’allait pas risquer de grille qui il était juste pour se vanter qu’il se faisait allègrement peloter sous forme féline par Eden. Premièrement il avait tendance à garder ce genre d’informations pour lui et ensuite ça serait franchement idiot. Ca le fit tiquer mais il se dit qu’il y réfléchirait un autre jour. Pour le moment il profitait de ce dont on lui donnait.

Au départ le chat resta en boule, ses quatre pattes sous son corps, un peu raide. Une caresse, deux caresses et le voilà qui s’étalait de plus en plus sur le torse d’Eden, si détendu qu’il ne fit même pas attention à la main d’Eden qui dérivait doucement sur son ventre, chose qui aurait dû lui hérisser le poil et le faire grogner. La partie la plus sensible du chat et la partie qu’il protège le plus, pourtant là, juste des ronrons en plus. Il releva la tête vers son hôte quand ce dernier repris la parole et pendant un moment il se demanda si il ne savait vraiment pas qu’il était un humain en réalité, vu comment il lui parlait…Mais le fait est que non, il n’avait pas de maître (encore heureux) et encore moins de foyer doux et chaleureux. Ca, il l’avait quitté un peu moins de quinze ans plus tôt. Si on pouvait appeler la maison où habitaient sa sœur et son père un foyer doux et chaleureux. L’appartement qu’il occupait aujourd’hui ? Juste un lieu pour dormir et passer les heures qu’il ne pouvait pas passer à l’extérieur. Un lit, rien de plus, utile quand il ramenait des conquêtes chez lui et voilà tout. Pour ce qu’il dormait de toute façon.

Il bougea la tête pour la sortir des mains d’Eden. Mais il avait fini de lui tripoter les oreilles et la queue enfin ? Jack émit un son dans le fond de sa gorge, un genre de ronronnement furieux pour lui faire comprendre que non, je n’aimais pas qu’on me touche les oreilles. Non mais oh. En tout cas, le fait était qu’il me posait des questions auxquelles il ne pouvait pas répondre sous cette forme. Il s’attendait à quoi au juste ? Qu’il utilise une planche Wija pour lui parler ? Mais bien sûr. Alors en attendant il se réinstallait confortablement en ronronnant, jouant avec une mèche de cheveux d’Eden en passant. C’était drôle de faire ça et puis il verrait bien comment il réagirait lui quand on l’embêtait tiens.

© Chieuze

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